Ton aura brûle d'un noir intense,
Mais mon amour n'en est que plus dense,
Nous sommes loin,
Mais notre amour n'est pas vain,
Ma douce, ma chere,
Toi qui est plus precieuse que ma chair,
Pour aller à toi,
Je serais pret à tuer un roi,
Ou alors rejoindre nali,
Pour t'epouser une nuit,
Ma chère morigane,
Ecoute mon âme,
Je ne suis qu'un pauvre soricer,
Mais je sait comment me justifier,
De cet amour qui me brûle,
Mais qui a l'effet d'une pillule,
Veux-tu s'il te plait ma belle,
Me donner une reponse telle quelle,
Que tu la pense au fond de ton coeur,
Car quand je te vois,
Je n'appercois que des lueurs,
Morrigane,s'il te plait lis ce poème,
Et dit moi si tu l'aime.
Pour la belle reine noire, Morrigane.
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Alors que l'eclat sombre de tes cheveux,
Est aussi clair que tes yeux,
Mon coeur brille,
Tellement ma pupille,
Est aveuglée par tant de beauté,
Ainsi que par ta personalité,
Une demoiselle qui conquiert tout les coeur,
Mais que lorsque je l'effleure,
Parait immobile,
Tel un centaure,
Qui vit sur son île,
Que l'on appelle aurore,
Mais qui ressent cependant,
A l'egard de tant de gens,
Tant de sentiments,
Caché ou mis à jours,
Mais qui je l'espere dureront pour toujours.
Pour la belle et fière Dame morrigane
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Alors que Leathanter s'eveille,
Mon coeur s'illumine dés le reveil,
Car je sais que plus les jours passent,
Plus nos destins s'enlacent,
Le jour est proche,
Ce jour où je sortirais de ma poche,
Ce bijou qui t'illuminera,
De tout l'eclat que tu possède en toi.
Morrigane, déesse de la nuit,
Ton obscurité m'eblouie,
Fille de krali, adepte du bonhomme de neige,
Au teint couleur beige,
Aux yeux de couleur obscure,
Je te rejoindrais bientot pour conclure,
Cette promesse que je t'ai faite,
Et qui me donne espoir,
Que je te retrouverais,
Morrigane, je rève de te revoir.
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Mon coeur est tellement déchiré,
Que je préfère renoncer,
A vous avouer mes sentiments,
Car des gens essaient de vous avoir tendrement,
Quoique je dise, quoique je fasse,
Dans votre coeur je m'efface.
Je n'ai pas pu essuyer toutes les larmes de mon corps,
Mais elles ont areté de couler quand j'ai vu ton visage d'or.
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Souvent je me reveille,
Et je pense à vous,
Alors mon coeur s'emerveille,
Et je me dit que ma vie,
Peut s'achever dignement,
Maintenant que vous avez posé,
Sur mon esprit reposé,
Delicieusement vos yeux,
Sur mon coeur amoureux.
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Je profite de l'aurore qui se lève,
Pour apercevoir ton visage d'ève,
Mes nuits sont hantées,
Car mes pensées si troublées,
Ne se dirigent que vers toi,
Je rève de nous offrir un toit,
Où nous pourions revasser,
Profiter de la journée,
Et n'avoir que toi à mes cotés...
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Une nuit tu es née,
Un jour je te vis,
Les eclats de la lune reflechissaient ta beauté,
Les rayons du soleil illuminèrent ma vie,
Plus belle qu'une déesse,
Plus terrifiante que krali,
Attend moi ma reine, je viens te cueillir,
Tu as mené une bataille, et tu as conquis mon coeur.
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Un jour un sphix m'a dit,
Que bientôt ton coeur j'aurais conquis,
Ma seule arme reste la patience,
Afin que tu eprouves pour moi un amour intense.
Un jour un djinn m'a dit,
Que les plus puissantes magies,
Ne pouvaient pas me faire changer d'avis,
Car mes sentiments ne peuvent être trahis.
Un jour une amazone m'a dit,
Que même si mon âme brûle comme une bougie,
Tout les instants où je t'attend,
Ne font que me donner de l'elan,
Pour pouvoir t'attendre au tournant.
Une jour le Père Valentin m'a dit,
Que quand tu seras prête, une nuit,
Il acceptera que nous soyons unis,
Alors je te passerai la bague de vie,
Et puis j'espererais que tu oublies,
Un mecreant du nom de loki.
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Toi pour qui mon coeur flâne,
Toi pour qui mes yeux s'enflamment,
Toi pour qui ma magie est gracieuse,
Toi que je veux rendre heureuse,
Toi avec qui je veux m'unir,
Toi que je veux faire venir,
Je t'ai suivi dans les tenèbres,
Toi qui vis dans cachée dans les ombres,
Toi dont je veux la main,
Même s'il faut pour cela que je devienne souverain.
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Je ne suis qu'un sorcier,
Mais je peut t'enmener,
Là où tu trouveras,
Tout ce que tu voudras,
Allons chez les Seizons commettre un genocide,
Allons chez les Tsuchis les asperger d'acide,
Allons chez les Mizus tuer ces vautours,
Allons chez les Reikons pour faire l'amour.
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Le fantome apparut,
Devant mes yeux decus,
Dans le temple du desert,
Pavé de pierre et de poussiere,
Une pensée me traversa l'esprit,
Tu n'avais pas encore dit oui,
Mais je devais te voir et affronter cette douleur,
Il fallait malgré ma peur.
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